Concours Agrinature 2020


Giboulées de mars
La mois de mars est connu pour ses giboulées…
Voici quelques prises de vues réalisées ce dernier weekend.
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Paysages scandinaves
Des tourbières suédoises aux fjords norvégiens… voici quelques photos de paysages scandinaves réalisés lors d’un voyage au printemps 2018.
Les boeufs musqués du Dovrefjell
Lors de mon voyage en Norvège, un arrêt s’imposait au parc national du Dovrefjell (superficie de 1700 km²) afin d’éventuellement pouvoir observer des bœufs musqués.
A mon grand étonnement, je constate à mon arrivée qu’il reste énormément de plaques de neige à cette période de l’année, ce qui à l’évidence ne facilitera pas les déplacements, tant à ces endroits son épaisseur est encore importante.
Après quelques recherches aux jumelles, je finis par repérer au loin un groupe de 3 mâles et décide donc d’aller à leur rencontre tout en zigzagant entre les plaques de neige et autres zones inondées par la fonte des neiges.
Les bœufs musqués sont réputés pour avoir un caractère bien trempé, ils n’aiment pas être surpris et n’hésitent pas à charger si d’aventure on s’approche trop près. Il est donc conseillé de les approcher progressivement et bien à vue.
Comme à l’évidence ils courent plus vite que moi et préférant éviter une charge d’un de ces mâles de presque 400 kg, j’applique donc la méthode et avance lentement dans leur direction (vu le terrain, je n’ai pas vraiment le choix).
J’observe régulièrement leur comportement et ils me feront bien comprendre par un hochement de tête de gauche à droite quand la limite est atteinte… ce qui de facto me fait reculer vite fait de quelques mètres, jusqu’à ce qu’ils fassent à nouveau semblant de m’ignorer.
En y prenant le temps, j’arriverai à me faire accepter et à m’approcher d’eux à une cinquantaine de mètres. Ils seront tellement bien rassurés, qu’ils se coucheront même tout près… mais sans jamais relâcher leur vigilance à mon égard.
Pour terminer quelques mots sur ces animaux pour le moins étonnants.
L’étude de fossiles, prouve déjà la présence de leurs ancêtres lors de la préhistoire.
Les bœufs musqués vivent aujourd’hui dans la toundra arctique. Les grands mâles peuvent atteindre 1,4m au garrot pour un poids approchant les 400 kg.
Malgré cet apparent embonpoint, ils peuvent atteindre les 50 km/h à la course, ce qui évidemment compte tenu de leur caractère, invite à la prudence lorsqu’on tente de les approcher.
Le mâle et la femelle du bœuf musqué portent tous deux d’impressionnantes cornes. Chez les mâles, les bases de chaque corne s’avancent sur le front et se rencontrent pour former une bosse dure de corne et d’os d’une épaisseur pouvant atteindre 10 cm. Celle-ci leur sera utile lors des combats en période de rut … C’est en effet en fonçant violemment tête contre tête que les mâles dominants s’imposent dans le troupeau.
C’est grâce à un épais manteau que le bœuf musqué peut supporter des températures pouvant atteindre les -40°. Ce manteau se compose d’une toison laineuse isolante, en contact avec la peau, recouverte de grands poils de près de 60cm. Sa laine est huit fois plus chaude que celle des moutons.
Son aire de répartition se limite aujourd’hui au parc du Dovrefjell en Norvège, Groenland et nord du Canada.
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Rencontre avec les ours
Passer la nuit en plein coeur de la forêt suédoise, dans un affût à attendre le passage éventuel d’un ours restera sans conteste une expérience que je n’oublierai pas de sitôt.
Début mai, les ours sortent de leur léthargie et se mettent en quête de nourriture dès le crépuscule.
Deux ours passeront à plus ou moins 30 m de l’affût. Pas à dire… ça reste un animal imposant quand on le voit de si près dans la nature… et croiser son regard dans l’objectif reste malgré tout impressionnant.
L’ours brun européen pèse entre 260 et 360 kg et peut mesurer jusqu’à 3m de hauteur pour les tous grands mâles lorsqu’ils se dressent.
Lire plusDernier coucher de soleil pour 2017
Peu de soleil pendant ce mois de décembre… à peine quelques heures.
Notamment en cette fin d’année où pendant quelques instants il a bien voulu se montrer.
L’occasion de retourner en fagne pour faire quelques photos avec cette neige fraîchement tombée.
Lire plusMatinée féerique en fagne
Les prévisions météo annonçaient un peu de gel pour la nuit, ce qui laissait supposer un ciel dégagé.
Avec la dizaine de centimètres de neige, les arbres couverts de neige, le lever du soleil devrait être superbe sur le plateau fagnard. Je me décidais donc pour une petite promenade dans la fagne de Malchamps.
Je ne fus pas déçu, à mon arrivée, un brouillard rasant se déplaçait sur la fagne laissant apparaît de temps à autre les premières lueurs du jour.
Les couleurs étaient très variées, allant du bleu lorsque la lumière ne perçait pas, au rouge flamboyant côté lever du soleil levant, à des tons rosés à l’opposé grâce à la réflexion des rayons sur le brouillard.
Et ce jusqu’à ce que le soleil se lève totalement sur la fagne.
On habite quand même une belle région.
Lire plusRétrospective chevreuils 2016
L’hiver est définitivement derrière nous.
C’est l’occasion de vous présenter une petite rétrospective des photos de ce petit cervidé réalisées depuis le début de l’année 2016.
Lire plusBalade hivernale en fagne
L’hiver est à nos portes… Ce weekend les premières neiges ont fait leur apparition dans nos fagnes. Passages nuageux, soleil… difficile de résister à une petite balade vivifiante.
Lire plusLes jours rallongent…
Chaque année c’est avec la même satisfaction que je vois les jours s’allonger… l’hiver (même si nous n’avons pas vraiment eu cette année) est pratiquement derrière nous. La période est propice aux observations à commencer par les chevreuils que l’on voit de plus en plus sur les gagnages ou en prairies.
Frénésie au jardin
La nouvelle offensive hivernale n’y est certainement pas étrangère, mais ce weekend ça se bouscule dans la jardin..
Grosbecs, tarins, pinsons, sizerins, bouvreuils, écureuil… se bataillent pour prendre possession de la mangeoire.
Vite, vite… manger avant que la neige ne recouvre à nouveau tout.
Lire plusL’effet Orton
L’effet Orton, du nom d’un photographe canadien qui l’a inventé.
Il s’agit d’un traitement que l’on applique a posteriori à la photo à l’aide d’un programme de traitements d’images. Il convient généralement mieux à des paysages… cela leur donne un aspect vaporeux avec une saturation plus prononcée des couleurs.
Ce n’est pas sans rappeler les effets de David Hamilton que certains auront bien connu.
Bien que cela puisse plaire dans certaines circonstances, je ne suis pas spécialement fan de ce type de traitement, mais comme il faut bien meubler en cette période un peu plus calme… c’était un moyen de continuer à parler de photos.
Lire plusUn weekend hivernal
Déguisements, serpentins ou confettis pour certains… neige, soleil et paysages de cartes postales en ce qui me concerne.
Le plateau ardennais est toujours aussi beau. Que ce soit le matin dans des tons de gris avec un soleil qui perce au travers des nuages bas ou avec des tons pastels de la fin de journée à la nuit tombée.
Lire plusLes amours du spirou ?
Spirou… nom issu du patois wallon pour désigner un écureuil ou un enfant espiègle.
Espiègles, ils l’ont été les écureuils qui se weekend ont visité mon jardin..
Tandis que l’un se nourrissait des graines destinées aux oiseaux, l’autre faisait le pitre en grimpant aux arbres ou en gesticulant entre de vieilles souches. A moins que cette course effrénée ne soit tout simplement destinée à séduire une femelle ?
En effet c’est en janvier que commence généralement la saison des amours. Le mâle tourne alors autour de la femelle et se lance dans de longues poursuites dans les branches, ponctuant sa course et ses bonds, souvent spectaculaires, de cris. Au terme de cette cérémonie, la femelle accepte la présence du mâle, et l’accouplement peut avoir lieu.
Ce fut loin d’être le cas, le second écureuil continuant imperturbablement à manger… Va falloir revoir la stratégie
Cela dit, tantôt sous la pluie que sous la neige ils ont donné de l’animation dans le jardin.
Lire plusLa mésange noire
Vivant essentiellement dans les forêts de conifères, la mésange noire se nourrit majoritairement de petits insectes nuisibles qu’elle trouve en fouillant les branches des résineux. En hiver lorsque les insectes ont quasiment disparu, son régime alimentaire est constitué de graines des résineux qu’elle fréquente.
C’est une de nos plus petites mésanges, elle pèse de 8 à 10 grammes pour une taille de +/- 11 cm.
Tout comme la mésange charbonnière, elle a les joues blanches et une calotte noire. Elle se distingue cependant de cette dernière par une ligne noire sur la nuque et l’absence de couleurs vives.
La mésange noire est très active et se caractérise par ses attitudes acrobatiques qui lui permettent entre autre, en période de neige, de trouver de la nourriture sous les aiguilles des résineux.
Lire plusL’hiver est à nos portes
Ces derniers jours, les premières chutes de neige ont fait leur apparition sur notre pays, avec ce matin une accumulation de plus de 30 cm sur le plateau fagnard.
Inutile de vous dire que les paysages sont dignes de cartes postales, allant des couleurs chaudes au soleil couchant aux tons pastels une fois ce dernier derrière l’horizon.
La brume s’élève alors progressivement annonçant une nuit polaire sur la fagne.
Conditions évidemment difficiles pour les animaux qui plus que jamais ont des difficultés pour trouver de la nourriture.
Lire plusFaites vous plaisir…
Vous souhaitez un tirage d’une photo…
N’hésitez pas, contactez moi en m’indiquant la ou les photos de votre choix, le format souhaité et en retour je vous communiquerai les tarifs en vigueur.
Paysages montagnards
Pour clore ces mises à jour montagnardes, voici quelques paysages réalisés dans le Val d’Aoste et le Valais Suisse.
Lire plusNeiges perpétuelles
Classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, le site des Alpes Suisses Jungfrau-Aletsch, permet de découvrir le spectacle du monde des glaciers.
Des 824 km² qu’il représente, 42% sont recouverts de glace. 167 glaciers de toutes tailles forment la plus grande surface glaciaire des Alpes d’un seul tenant.
Le grand glacier d’Aletsch, plus grand glacier des Alpes est au coeur de cette étendue.
Pour vous donner une idée, ce glacier fait encore aujourd’hui 23 km de long; 81.7 km²; à la jonction des 3 névés qui le forment il a une épaisseur de 900 mètres; son poids est estimé à 27 milliards de tonnes ce qui correspond au poids de 72.5 millions de jumbo-jets !
En comparaison, la mer de glace à Chamonix (peut-être mieux connue du grand public), c’est “seulement” 7km de long et 200 mètres d’épaisseur.
D’autres grands fleuves de glace sont également des éléments dominants du site (Fiescher 31.2 km²; Oberaletsch 19 km²; Unteraar 24 km²…).
Cependant le recul dramatique et continu des glaciers alpins depuis la grande glaciation du milieu du 19° siècle tend à prouver que les “neiges éternelles” ne le sont plus vraiment. Cette récession est liée au réchauffement climatique naturel d’une part et aux activités humaines d’autre part.
Lire plusL’hiver n’a pas dit son dernier mot !
Avec ces quelques jours de redoux, on croyait en être quitte… Mais ce matin une mince pellicule de neige a de nouveau recouvert le paysage.
Voici tout d’abord quelques photos du weekend passé bien lumineux mais avec des températures sibériennes et d’autres de ce matin dans une atmosphère nettement moins froide mais tout aussi hivernale.
Lire plusWeekend polaire
Depuis quelques jours l’ Europe entière grelotte…
Cela ne m’empêche cependant pas de me rendre avant le lever du jour sur le plateau fagnard.
Là haut la température approche les -20° et l’impression de froid est encore renforcée par une bise qui souffle de l’est. Mes multiples épaisseurs vestimentaires ne suffisent plus, je sens très nettement le froid passer au travers.. de quoi m’éveiller si ce n’était déjà fait !
Mais dès que la lumière douce du matin commence à éclairer progressivement le paysage, le spectacle est de toute beauté et le froid est vite oublié.
Voici donc quelques photos toutes “fraîches” de ce matin polaire…
Au retour c’est la Hoëgne gelée sur presque 30 cm qui attire mon attention avec de véritables sculptures de glace.
Et les animaux dans tout ça me direz vous ? Eh bien.. étonnamment ils semblent parfaitement s’adapter comme si le froid n’avait pas de prise sur eux.
Lire plusFin d’hiver
L’hiver est maintenant derrière nous!
Les opportunités pour la photographie animalière ont été rares. Voici néanmoins quelques photos de ces dernières semaines avant je l’espère des jours meilleurs.
Lire plusL’hiver en forêt.
Difficile pour l’instant d’apercevoir le gibier et ce pour plusieurs raisons liées à l’hiver rigoureux que nous connaissons ces dernières semaines.
Tout d’abord le fait que l’approche des lieux est rendue difficile par l’épaisseur de neige, mais également très bruyante de par cette neige… et une fois sur place, faut-il encore pouvoir rester quelques heures sans bouger ce qui n’est pas évident quand il gèle. 🙁
Malgré ces conditions difficiles et en voyant ces images, les chevreuils semblent très bien supporter ces conditions hivernales.
Lire plusGivre – Neige – Givre – Neige
C’est le menu de ce mois de janvier.
Il a commencé par du givre (voir cette mise à jour)… Dans la nuit qui suivit, une neige fine vint se mêler au brouillard givrant rendant méconnaissables les endroits visités la veille.
S’en suivit une courte période de dégel puis de fortes gelées accompagnées de brouillard, pour enfin terminer ce premier mois de l’année par d’importantes chutes de neige (50cm minimum)… le tout sous des lumières changeantes pour mon plus grand plaisir.
Lire plusPremières gelées et premiers flocons
Le weekend passé les premiers froids sont arrivés sur les Ardennes et avec eux les premiers flocons de neige.
Il n’en fallait pas plus pour attirer les passereaux. Mésanges, grosbecs, moineaux, verdiers, tarins… rien que du commun ! Mais quel plaisir que de revoir ces petites boules de plumes.
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